Remediation ZI Gare-Batailles / 2019
BIG - Biennale Interstellaire des espaces d'art de Genève - espace TOPIC

Remediation ZI Gare-Batailles a été produit pour TOPIC dans le cadre de BIG, Biennale des espaces d’art Interstellaire de Genève.
Remediation ZI Gare-Batailles est une installation comportant des déchets, de la terre polluée et des plantes, qui s’inspire des procédés de traitements de la pollution par le biologique (bioremédiation, phytoremédiation). Certaines plantes, la terre et les déchets ont été récoltés sur un terrain pollué dans la zone industrielle de Meyrin (Canton de Genève). Puis des plantes capables de stocker ou de dégrader la pollution ont été repiquées sur cette terre: medicago sativa et zea mays dégradent les hydrocarbures aromatiques polycycliques et arabidopsis halleri est une plante hyperaccumulatrice qui extrait le cadmium et le zinc.
Remediation ZI Gare-Batailles s’inspire de recherche scientifiques en cours, et questionne notre rapport au sol et à la pollution: Comment prendre soin de nos villes ? Quelles sont les symbioses bénéfiques entre l’humain et son environnement ? Comment sortir de logiques d’instrumentalisation, d’utilitarisme ou de domination ?
ENG
Remediation ZI Gare-Batailles was produced for TOPIC as part of BIG, Biennale des espaces d'art Interstellaire de Genève.
Remediation ZI Gare-Batailles is an installation made of waste, polluted soil and plants, inspired by biological pollution treatment processes (bioremediation, phytoremediation). Some plants, soil and waste were collected from a polluted area in the industrial zone of Meyrin (Canton of Geneva). Plants capable of storing or degrading the pollution were then transplanted onto this soil: medicago sativa and zea mays degrade polycyclic aromatic hydrocarbons and arabidopsis halleri is a hyperaccumulating plant that extracts cadmium and zinc.
Remediation ZI Gare-Batailles is inspired by current scientific research and questions our relationship with the soil and pollution: How can we take care of our cities? What are the beneficial symbioses between humans and their environment? How can we get away from the logic of instrumentalisation, utilitarianism or domination?